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L'adoption de l'impression 3D à la demande pour la réparation de pièces génère un ROI Caché substantiel. Ce ROI résulte de la réduction des coûts de matériaux et de main-d'œuvre, de la minimisation des temps d'arrêt des équipements, de l'élimination des frais de logistique et de stockage, et de la possibilité d'optimiser la conception des pièces réparées, offrant ainsi une alternative plus économique et durable au remplacement.

Pour la réparation de pièces par impression 3D à la demande, notamment avec des matériaux avancés (métaux, composites), le respect strict des exigences de sécurité et de certification est crucial. Cela implique la qualification des matériaux et des procédés, la garantie de la conformité des propriétés mécaniques aux normes originales, et l'adhérence aux certifications sectorielles spécifiques (aérospatiale, médical) pour assurer la fiabilité et la sécurité de la pièce refaite

Le Futur du Remplacement (Vision Prospective) prévoit qu'en 2050, refaire une pièce par impression 3D à la demande sera la norme. Les entrepôts physiques seront remplacés par des bibliothèques numériques de Fichiers STL certifiés. L'imprimante 3D, présente partout, permettra un remplacement instantané et localisé des composants, mettant fin à l'obsolescence due à la rareté des pièces et transformant la logistique en transfert de données pour garantir la longévité et la person